Je travaille maintenant, mais je suis passée par une période de travail indépendant, non salarié, qui face à la crise et la maladie s'est progressivement rétréci jusqu'à une peau de chagrin. Avec le diagnostic, est revenu la forme et le retour à une vie sociale "normale".
Du coup, les frais médicaux afférent à la spondylo - qui demande un suivi régulier et précis - ne m'affectent plus avec aussi de vigueur. Ce n'est pas le cas de beaucoup d'autres personnes qui peuvent passer des heures pour récupérer la part des consultations qui leur est avancée par les mutuelles.
Des heures d'attentes. Le symptôme de l'hôpital public. Où vont les retraités pauvres, les pauvres, et les malades chroniques. Des heures, du retard, du personnel souvent gentil qui doit faire face à la mauvaise humeur des im-patients.
Et pour un malade chronique qui travaille, une vraie difficulté à faire passer inaperçu ces absences qui se prolongent au de-là de la décence.
Rdv 7h55, sortie 11h30.
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